Equipe de France pour les JO.


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Franckche
Passe son temps sur le forum

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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 07h11


FredA a écrit :

Quand, grace au CNDS, on construira des pistes comme des terrains de tennis ou comme des stades de foot pour l'Euro 2016, peut etre qu 'elles seront tous en accés libre....

Pour le moment, ce sont les collectivités locales qui mettent la main à la poche et il peut paraître légitime qu 'elles souhaitent en controler l'accés et le limiter à ceux qui défendent leurs couleurs !

Les pistes ne seront jamais en accès libre, quand bien même, seraient-elles payées par le CNDS. Elles resteront la propriété de la collectivité qui en sera RESPONSABLE.
A partir de là, tout dépend de la relation qui s'instaure entre l'athlète "arrivant" sur l'installation et le club "accueillant" sur son installation.
Les clubs "progressistes" verront tout nouvel athlète sur leur stade comme un moyen d'émulation supplémentaire pour ses athlètes.
Les clubs "protecteurs" verront cet athlète comme profitant de leurs installation, savoir faire...

Quoi qu'il en soit, ne jamais oublier que :

l'athlétisme est un sport individuel à progression collective !!!

Message modifié le vendredi 13 juillet 2012 à 07h13 par Franckche

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Maurin GUAY
Boss d'Athled

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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 09h38


Franckche a écrit :

l'athlétisme est un sport individuel à progression collective !!!

+ 1

Maurin GUAY

http://www.mauringuay.com
https://www.facebook.com/pg/teamlapinathletisme/
http://earv.athle.com/

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FredA
Visiteur


Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 12h07


Franckche a écrit :

FredA a écrit :Quand, grace au CNDS, on construira des pistes comme des terrains de tennis ou comme des stades de foot pour l'Euro 2016, peut etre qu 'elles seront tous en accés libre....

Pour le moment, ce sont les collectivités locales qui mettent la main à la poche et il peut paraître légitime qu 'elles souhaitent en controler l'accés et le limiter à ceux qui défendent leurs couleurs !

Les pistes ne seront jamais en accès libre, quand bien même, seraient-elles payées par le CNDS. Elles resteront la propriété de la collectivité qui en sera RESPONSABLE.
A partir de là, tout dépend de la relation qui s'instaure entre l'athlète "arrivant" sur l'installation et le club "accueillant" sur son installation.
Les clubs "progressistes" verront tout nouvel athlète sur leur stade comme un moyen d'émulation supplémentaire pour ses athlètes.
Les clubs "protecteurs" verront cet athlète comme profitant de leurs installation, savoir faire...

Quoi qu'il en soit, ne jamais oublier que :

l'athlétisme est un sport individuel à progression collective !!!

Tu oublies l athlète "sortant" qui veut continuer à utiliser les installations aux mêmes horaires que son ancien club...

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dubovitch
Boulimique du forum!

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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 12h26


haaa les mutations.....

je vois bien l'interet des poles et des structures régionales qui permettent aux meilleurs athlètes de s'entrainer dans des meilleurs conditions.

Par contre, pour un athlète qui veut s'entrainer avec dans un club sans s'y licencié, je trouve ca plus que limite!!!!! Je trouve que c'est un manque de respect envers les dirigeants/entraineurs/athlètes, et autres bénévols de ce club! En gros, il veut profiter de tout les avantages du clubs, dans en porter les couleurs ni payer sa licence..

Et encore, je ne vous parle même pas des dirigeants qui déconseillent à leurs athlètes qui partent dans une autre ville d'aller s'entraîner dans un club, car il va être obliger de muter. Ils préfèrent que l'athlète ait de moins bonnes conditions d'entraînement, mais qu'il reste dans leur club...

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forumiste
Pilier de bar du forum

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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 13h03


[quote=PJV] A propos de la natation, à lire aujourd'hui dans l’Équipe(C. Blondet) la marche arrière du DTN Christian Donzé qui avait insisté sur l'absence de repêchages pour les Jeux. "Sept nageurs et leurs entraîneurs ont eu la joie d'apprendre qu'ils participeraient aux JO non seulement au sein des relais, mais également en individuel. [...] La réussite des repêchés (et de l'ensemble des bleus) à Londres tournerait sans doute définitivement la page de l'intransigeance. Un échec rendrait sans doute la parole à ceux qui, dans l'ombre, évoquent un 'pataugeage'. "

[/quote]

Je n'ai pas lu cet article n'ayant pas l'Equipe, mais si vous voulez évoquer le repêchage pour les J.O, çà me semble compliqué pour l'athlétisme. Est-ce que çà s'est fait déjà, et quand ?

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Franckche
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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 13h16


dubovitch a écrit :

Par contre, pour un athlète qui veut s'entrainer avec dans un club sans s'y licencié, je trouve ca plus que limite!!!!! Je trouve que c'est un manque de respect envers les dirigeants/entraineurs/athlètes, et autres bénévols de ce club! En gros, il veut profiter de tout les avantages du clubs, dans en porter les couleurs ni payer sa licence..

Et encore, je ne vous parle même pas des dirigeants qui déconseillent à leurs athlètes qui partent dans une autre ville d'aller s'entraîner dans un club, car il va être obliger de muter. Ils préfèrent que l'athlète ait de moins bonnes conditions d'entraînement, mais qu'il reste dans leur club...

La grande majorité des athlètes est confronté un jour à cette situation, puisque les études post bac sont concentrées sur les villes universitaires et que la majorité de nos clubs sont dans des villes non universitaires... Donc ...

Donc ... Il est intéressant pour un club formateur de s'associer avec un grand club d'une ville universitaire, la notion de section locale étant avantageuse, puisqu'elle permet au club de garder son autonomie, ses subventions et l'athlète au sein du club, bien qu'il s’entraîne sur le lieu de ses études.

Et tout ça, sans mutations

Bon, il y a toujours les premiers de la classe qui partiront sur Paris, Lyon, Toulouse...
Mais globalement, cette solution permettrait de garder 90% des athlètes formés au club ... dans le club

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BLUESKY
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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 14h07


Bonjour à tous et toutes

Jvais vous parler de mon groupe sur Nantes, car il correspond

tout à fait au sujet évoqué plus haut. J'entraine sur le site du stade

UNIVERSITAIRE de Nantes, au ptit port (pour ceux qui connaissent) et

je suis officieusement intervenant au SUAPS. J ai donc accès aux installations

au matériel dont j ai besoin, haies, plints, plots, lattes et les athlètes que

j entraine peuvent avoir accès à la salle de muscu du STAPS. Je fais également

depuis 2ans, tout les déplacements pour les compets Universitaires. Perso

je suis licencié à l' A.C.P.A (Athlétic Club Du Pays d'Ancenis) et j entraine

dans mon groupe 3 athlètes de mon club, faisant leurs études sur NANTES. Dans

mon groupe, il y a également, une athlète de QUIMPER ATHLETISME, une autre

de HAUTE BRETAGNE ATHLETISME, un gars du RACING CLUB NANTAIS, un autre

du STADE LAVALLOIS, un de l ALPAC, club de NANTES etc............. en tout

8 clubs différents dans le groupe :-). Aucun des athlètes n a changé de club

mais en accord (parfois difficile) avec le club, ou l entraineur précédent,

j entraine tout ces athlètes 4/5 fois semaine et je m occupe de leur préparation

de A à Z, prépa physique, muscu, etc.................. Cela se passe dans une

ambiance excellente et chacun apporte quelquechose au groupe. L an prochain

l athlète (phare) du groupe, part poursuivre ses études sur BORDEAUX, et fait

un stage de 8mois sur AGEN. Un collègue entraineur est OK, pour l entrainer

sans qu elle soit obligée de changer de club ;-).

Si Eole est dispo smaine prochaine, jveux bien figurer dans la rubrique ITW

J en avais parlé à MAURIN, mais les athlètes (pour la plupart Etudiants)

n avait pu répondre au questionnaire faute de temps :-) ou d envie ??? ah ah ah

sportivement

fabrice
coach lg/triple
NANTES.

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Franckche
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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 16h00


Une petite bizarrerie que je n'avais pas notée avant :

La quasi totalité des meilleures perf de Garfield ont été réalisées contre le vent

pourvu qu'il y ait du vent dans le nez dans trois semaines

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max
Boulimique du forum!

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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 16h55


A nouveau de retour sur athled aujourd'hui.

Je suis à peu-près en phase avec tout ce que tu dis Franck.
Accès aux stade (Je suis responsable d'un service des Sport d'une CT je sais que quoi je parle) , entrainement commun entre clubs ( entraineur, j'accueille des athlètes non licenciés chez nous) etc...
Seule peut-être la notion de club unique dans une ville universitaire me chagrine un peu. Quoi que en insistant on doit pouvoir me convaincre...

Néanmoins, le point concernant les ressources humaines que sont les entraineurs de clubs ne me semble de loin pas exploité voire dénigré.
Je m'explique:
De puis une dizaine d'années, nous avons détecté, formé et produit une multitude finalistes France jeunes avec comme point d'orgue en 2009: 3 internationaux jeunes. A aucun moment, nous n'avons été sollicité pour nous demander: comment? , quel investissement nécessaire ? comment faire pour vous permettre d'aller plus loin?
Rien, nous avons bossé dans notre coin tout en accueillant et entrainant sans distinguo des athlètes hors du club ce qui a permis une émulation.
Une fois passé Es ces athlètes ont intégré un cycle d'études longues (Prépa-médecine...) , mais continuaient à s'entrainer et à être internationaux. Cela a marché une année ensuite c'était progressivement la fin.
La seule chose que l'on nous ai proposé c'est d'inscrire ces athlètes au Pôle et avec un entraineur du pôle. Ces athlètes ont refusé pour des raisons d'organisation, il aurait fallu s'adapter au nouvel encadrement etc etc, la première année post-Bac ces athlètes veulent un environnement connu.

Lorsque je dis nous c'est: , une BEES1, quelques moniteurs -16ans FFA, un médecin, une équipe de kiné et un BEES2. Tous "bénévoles" sauf le corps médical bien sûr. La structure n'avait rien de fantaisiste. Nous sommes à 30kms d'une ville universitaire et j'interviens lors des formations d'entraineurs.

Il aurait suffit de nous proposer d'intégrer l'équipe d'encadrement du Pôle qui par ailleurs ne proposait pas d'encadrement spécifique à ces disciplines.

Conclusion de l'histoire: Ma collègue BEES1 a disparu de l'athlé (pour d'autres raisons également) mais a été remplacée par une entraineur spécialité.
Mon investissement perso a diminué car enfants + boulot + entrainement c'est dur.
La dynamique collective s'est éteinte. Car la question: quelle issue après Ju pour les athlètes que nous formons se pose.

Notre structure permet de produire des internationaux jeunes, je suis sûr qu'elle peut aller plus loin mais il faut pour cela que nous puissions être partiellement professionnalisé.
Se donner les moyens pour notre projet on saura se les donner, nous ne sommes pas des assistés mais il y a des choses que nous ne pouvons faire seuls.

Cette situation doit exister ailleurs en France et des compétences sont perdues.

Je ne pleure pas, je ne demande rien, je n'en veux à personne je veux simplement trouver les solutions qui nous permettrons sur la prochaine génération d'athlètes que nous détecterons, formerons et entrainerons d'aller en équipe de France Seniors.

Merci Franck pour ton partage d'expérience et ton analyse très fine. J'ai toujours appris les fois où nous nous sommes croisés et lorsque nous avons échangé.

Question Subsidiaire que devient Philippe Leynier?

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Franckche
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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 19h41


max a écrit :

A nouveau de retour sur athled aujourd'hui.

Je suis à peu-près en phase avec tout ce que tu dis Franck.
Accès aux stade (Je suis responsable d'un service des Sport d'une CT je sais que quoi je parle) , entrainement commun entre clubs ( entraineur, j'accueille des athlètes non licenciés chez nous) etc...
Seule peut-être la notion de club unique dans une ville universitaire me chagrine un peu. Quoi que en insistant on doit pouvoir me convaincre...

Néanmoins, le point concernant les ressources humaines que sont les entraineurs de clubs ne me semble de loin pas exploité voire dénigré.
Je m'explique:
De puis une dizaine d'années, nous avons détecté, formé et produit une multitude finalistes France jeunes avec comme point d'orgue en 2009: 3 internationaux jeunes. A aucun moment, nous n'avons été sollicité pour nous demander: comment? , quel investissement nécessaire ? comment faire pour vous permettre d'aller plus loin?
Rien, nous avons bossé dans notre coin tout en accueillant et entrainant sans distinguo des athlètes hors du club ce qui a permis une émulation.
Une fois passé Es ces athlètes ont intégré un cycle d'études longues (Prépa-médecine...) , mais continuaient à s'entrainer et à être internationaux. Cela a marché une année ensuite c'était progressivement la fin.
La seule chose que l'on nous ai proposé c'est d'inscrire ces athlètes au Pôle et avec un entraineur du pôle. Ces athlètes ont refusé pour des raisons d'organisation, il aurait fallu s'adapter au nouvel encadrement etc etc, la première année post-Bac ces athlètes veulent un environnement connu.

Lorsque je dis nous c'est: , une BEES1, quelques moniteurs -16ans FFA, un médecin, une équipe de kiné et un BEES2. Tous "bénévoles" sauf le corps médical bien sûr. La structure n'avait rien de fantaisiste. Nous sommes à 30kms d'une ville universitaire et j'interviens lors des formations d'entraineurs.

Il aurait suffit de nous proposer d'intégrer l'équipe d'encadrement du Pôle qui par ailleurs ne proposait pas d'encadrement spécifique à ces disciplines.

Conclusion de l'histoire: Ma collègue BEES1 a disparu de l'athlé (pour d'autres raisons également) mais a été remplacée par une entraineur spécialité.
Mon investissement perso a diminué car enfants + boulot + entrainement c'est dur.
La dynamique collective s'est éteinte. Car la question: quelle issue après Ju pour les athlètes que nous formons se pose.

Notre structure permet de produire des internationaux jeunes, je suis sûr qu'elle peut aller plus loin mais il faut pour cela que nous puissions être partiellement professionnalisé.
Se donner les moyens pour notre projet on saura se les donner, nous ne sommes pas des assistés mais il y a des choses que nous ne pouvons faire seuls.

Cette situation doit exister ailleurs en France et des compétences sont perdues.

Je ne pleure pas, je ne demande rien, je n'en veux à personne je veux simplement trouver les solutions qui nous permettrons sur la prochaine génération d'athlètes que nous détecterons, formerons et entrainerons d'aller en équipe de France Seniors.

Merci Franck pour ton partage d'expérience et ton analyse très fine. J'ai toujours appris les fois où nous nous sommes croisés et lorsque nous avons échangé.

Question Subsidiaire que devient Philippe Leynier?

Max,

Je reviendrais plus en détail sur les points que tu évoques dans ton "retour d'expérience" dès mon retour de congés, car je pars dans 30' vers le Queyras où je serais coupé de l'Humanité pendant 10 jours

Je prends juste 10" pour te dire : + 2000

Concernant Philippe, j'ai cru comprendre que ses problème pourraient se résoudre et que l'on pourrait le retrouver autour d'un stade bientôt, mais je n'ai pas eu de ses nouvelles depuis quelques semaines.

Sur ce, bonnes vacances à tous, moi je pars voler en parapente, puis je retrouve Bertrand Hozé, mon ex... bras droit, pour préparer les JO ... devant la TV

Message

bruno
Membre historique

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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 19h45


Franckche a écrit :

max a écrit : A nouveau de retour sur athled aujourd'hui.

Je suis à peu-près en phase avec tout ce que tu dis Franck.
Accès aux stade (Je suis responsable d'un service des Sport d'une CT je sais que quoi je parle) , entrainement commun entre clubs ( entraineur, j'accueille des athlètes non licenciés chez nous) etc...
Seule peut-être la notion de club unique dans une ville universitaire me chagrine un peu. Quoi que en insistant on doit pouvoir me convaincre...

Néanmoins, le point concernant les ressources humaines que sont les entraineurs de clubs ne me semble de loin pas exploité voire dénigré.
Je m'explique:
De puis une dizaine d'années, nous avons détecté, formé et produit une multitude finalistes France jeunes avec comme point d'orgue en 2009: 3 internationaux jeunes. A aucun moment, nous n'avons été sollicité pour nous demander: comment? , quel investissement nécessaire ? comment faire pour vous permettre d'aller plus loin?
Rien, nous avons bossé dans notre coin tout en accueillant et entrainant sans distinguo des athlètes hors du club ce qui a permis une émulation.
Une fois passé Es ces athlètes ont intégré un cycle d'études longues (Prépa-médecine...) , mais continuaient à s'entrainer et à être internationaux. Cela a marché une année ensuite c'était progressivement la fin.
La seule chose que l'on nous ai proposé c'est d'inscrire ces athlètes au Pôle et avec un entraineur du pôle. Ces athlètes ont refusé pour des raisons d'organisation, il aurait fallu s'adapter au nouvel encadrement etc etc, la première année post-Bac ces athlètes veulent un environnement connu.

Lorsque je dis nous c'est: , une BEES1, quelques moniteurs -16ans FFA, un médecin, une équipe de kiné et un BEES2. Tous "bénévoles" sauf le corps médical bien sûr. La structure n'avait rien de fantaisiste. Nous sommes à 30kms d'une ville universitaire et j'interviens lors des formations d'entraineurs.

Il aurait suffit de nous proposer d'intégrer l'équipe d'encadrement du Pôle qui par ailleurs ne proposait pas d'encadrement spécifique à ces disciplines.

Conclusion de l'histoire: Ma collègue BEES1 a disparu de l'athlé (pour d'autres raisons également) mais a été remplacée par une entraineur spécialité.
Mon investissement perso a diminué car enfants + boulot + entrainement c'est dur.
La dynamique collective s'est éteinte. Car la question: quelle issue après Ju pour les athlètes que nous formons se pose.

Notre structure permet de produire des internationaux jeunes, je suis sûr qu'elle peut aller plus loin mais il faut pour cela que nous puissions être partiellement professionnalisé.
Se donner les moyens pour notre projet on saura se les donner, nous ne sommes pas des assistés mais il y a des choses que nous ne pouvons faire seuls.

Cette situation doit exister ailleurs en France et des compétences sont perdues.

Je ne pleure pas, je ne demande rien, je n'en veux à personne je veux simplement trouver les solutions qui nous permettrons sur la prochaine génération d'athlètes que nous détecterons, formerons et entrainerons d'aller en équipe de France Seniors.

Merci Franck pour ton partage d'expérience et ton analyse très fine. J'ai toujours appris les fois où nous nous sommes croisés et lorsque nous avons échangé.

Question Subsidiaire que devient Philippe Leynier?

Max,

Je reviendrais plus en détail sur les points que tu évoques dans ton "retour d'expérience" dès mon retour de congés, car je pars dans 30' vers le Queyras où je serais coupé de l'Humanité pendant 10 jours

Je prends juste 10" pour te dire : + 2000

Concernant Philippe, j'ai cru comprendre que ses problème pourraient se résoudre et que l'on pourrait le retrouver autour d'un stade bientôt, mais je n'ai pas eu de ses nouvelles depuis quelques semaines.

Sur ce, bonnes vacances à tous, moi je pars voler en parapente, puis je retrouve Bertrand Hozé, mon ex... bras droit, pour préparer les JO ... devant la TV

bons vols et bons jo

bruno

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Alex
Passe son temps sur le forum

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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 20h25


On a pu croiser Philippe Leynier sur la piste mythique de Tarare lors du non moins mythique meeting "quatrache" le 07 juillet dernier... Avec le matin un colloque extrêmement intéressant avec Monsieur Kévin YOUNG !

Message

ivalo
Pilier de bar du forum

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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 21h01


Alex a écrit :

On a pu croiser Philippe Leynier sur la piste mythique de Tarare lors du non moins mythique meeting "quatrache" le 07 juillet dernier... Avec le matin un colloque extrêmement intéressant avec Monsieur Kévin YOUNG !

Il était également à Angers aux championnats de France.

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Date du message : vendredi 13 juillet 2012 à 23h35


Autant pour moi Ivalo je pensais que tu faisais allusion aussi aux relais, cela dit la faille réelle du système selon moi se trouve dans le fait que les minimas peuvent être réalisés sur une période d'un an. Je conçois volontiers que les Jeux correspondent a 4 ans de préparation mais il correspondent surtout a 1 semaine de compétition. dès lors peut-on réellement sélectionner un athlète sur le seul fait qu'il aie réalisé les minimas l'année précédent les jeux alors que ces performances sont très nettement inférieures ou inférieures seulement a leur performances passée. Dès lors on peut remettre en cause multiples sélections: Véronique Mang, VZD, Salim Sdiri , Même Jimmy Vicaut (qui est en passant un très bon ami a moi) n'a pas réalisé les minimas vent régulier! je rejoins donc bruno sur le mode de selection a deux garçons ayant réaliser les minimas iaaf et un troisieme si potentiel il y a (on pense notamment aux haies hautes en france...

.PG

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candide
Pilier de bar du forum

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Date du message : dimanche 21 octobre 2012 à 20h05


PJV a écrit :

... la marche arrière du DTN Christian Donzé ...