ivalo a écrit :Mais à mon sens cette branche ne devrait pas être l'apanage de la FFA ou, a minima, être une structure totalement différenciée de la partie compétition avec des dirigeants spécifiques qui ne prennent pas part aux votes concernant la compétition (et la réciproque est vraie, à chacun son jardin). Deux sites informatiques différents : un pour l'athlé "à l'ancienne" avec bien entendu toutes ses transformations et un autre pour l'athlé loisirs, santé, très jeunes enfants, etc. Deux fédérations différentes pourquoi pas, ou comme je l'ai dit plus haut séparer très clairement ces deux facettes qui actuellement sont bigrement amalgamées. Ce serait tellement plus clair ! .
Tu voudrais refaire l'erreur que nous avons commis avec le Runnig dans les années 80 !!!
Ou pire, créer une fédération Athlétisme loisir comme la fédération de cyclisme avec le Cyclo ... Et qui s'en mord les doigts tous les jours
Pour l'anecdote, nous avions fait interroger un pannel de licenciés loisir pour savoir s'ils souhaitaient (à l'époque nous avions de jolis licences illustrées) avoir une licence distinctive de la compétition. Ils nous avaient répondu à l'unanimité qu'ils étaient fiers d'apartenir à la mémé fédération que Christine Arron, Renaud Lavillenie ou Christelle Daunay
ivalo a écrit :Il est vrai que pour la FFA tous les licenciés "hors compétition" sont une manne financière non négligeable. Mais si c'est ça le but essentiel ce n'est pas très glorieux.
Le but principal est de pouvoir générer suffisament de moyens pour professionaliser nos structures clubs, que ce soit au niveau de l'encadrement technique, administratif ou du développement. Pour cela, les activités Baby-EA-PO-Loisir-Santé, permettent de professionaliser un cadre qui pour parti, s'occupe de ces activités (20 heures environ sur la semaine) et peut consacrer en parallèle, du temps pour le soutien administratif et technique du clubs pour soulager ou compléter l'investissement bénévole.
Bien entendu, cela demande une formation que notre OFA actuel ... ne propose pas 
Eole a écrit :Mais oui , on n'a pas forcément les moyens de le faire. Des entraîneurs, des clubs le font plutôt bien de ci de la mais notre capacité a gérer tout ça en plus des complexités de l'athle de compétition et de sa formation ne m'apparaît pas aussi facile que voudrait nous faire croire certains, même s'il y a des opportunités de ruissellement il est vrai possible aussi .
Je pense qu'on a un peu surestimé aussi la capacité des clubs a le faire. La démonstration qu'il s agirait peut être de deux mondes différents ou parallèles comme tu le dis
Tous les clubs (et surtout les plus petits) ne sont effectivement pas en capacité de gérer ces secteurs ... s'ils ne sont pas soutenus par leur Comité et des moyens humains et financiers. D'où notre projet 
Eole a écrit :Je pense en tout cas que "forcer/convaincre les clubs" a faire de l'athle santé depuis 2000, n'a pas fait que du bien a la relation clubs/FFA sur une bonne dizaine d'années
300000 quel beau chiffre en tout cas ...
L'Athlé-Santé a été mis en place par nous en Septembre 2006.
Il n'a jamais été question de "forcer" qui que ce soit. Communiquer n'est pas forcer !!!
Quand à 300 000, nous savons tous qu'il n'y aura guère plus de 150 000 compétiteurs (participants aux Chts des différents niveaux), les autres faisant du loisir.
Cela nous ramène donc à 150 000 licenciés loisir, alors que :
- notre éducation nationale est défaillante (pour le moment j'espère) dans l'éducation motrice et physique de nos jeunes (en tous cas dans les programmes)
- nous avons 400 000 participants non licenciés dans des courses labellisées FFA et 4 millions de coureurs/marcheurs dans les champs, les bois et les montagnes.
- nous avons huit millions de personnes souffrant d'ALD en France, pour qui une activité physique adaptée viendrait soulager la Sécurité Sociale en leur faisant le plus grand bien !!!
Toujours pour l'anecdote, mon fils de 31 ans est runner et ma fille de 28 ans est Traileuse (ils ont tous les deux commancé par l'athlétisme à 5 ans
). Ils paient tous les deux un coach virtuel qui leur prépare un programme (que j'estime banal ... mais qu'il adapte à leurs possibilités et besoins) d'entrainement qu'ils s'infligent trois à quatre fois par semaine (pour leur plaisir disent-ils), en contre partie de 200€uros par ans
Quand je leur demande pourquoi ils ne se rapproche pas du clubs local, ils me répondent qu'ils ont essayé, mais qu'ils n'y ont pas trouvé de coach suffisament formé leur permettant de progresser et que la FFA ne leur proposait rien de plus qu'une assurance (essentielle, mais qu'ils prennent par ailleurs dans leurs pratiques loisir autres) ...
Cela me fait mal à MON ATHLE !!! 