philathle a écrit : jmbil a écrit : ALAIN25 a écrit : Zapotek a écrit :En même temps, comment dire... ?
Les athlètes internationaux ont (presque) tous été licenciés jeunes dans des clubs français, où chaque début de saison, on leur a expliqué qu'il fallait renouveler leur licence avant de participer à une compétition.
Par ailleurs, depuis quelques années, on peut se licencier dans son club, puis entamer ensuite une procédure de mutation.
Ces athlètes internationaux sont, pour la plupart, au moins semi-professionnels (l'athlé est une partie de leur gagne-pain).
Bref, si un athlète qui sait qu'il peut battre un RF en courant debut septembre, n'est pas licencié le jour de la course, c'est soit qu'il n'est pas très pro dans sat tête, qu'il n'en a un peu rien à battre du record.
pas faux pourquoi faire quand on peut compliquer.........vavavoum.....;;
Certes ces athlètes pourraient être plus pro mais les clubs qui les embauchent également
Rien de plus simple pour un club de passer en avance les licences de ces athlètes
Ouais j'entends bien vos arguments qui sont évidemment recevables. En fait il y a 2 choses à considérer : d'abord il y a des règles et chacun doit s'y conformer. Et sous cet angle effectivemment qu'il est bien bête que par la faute d'athlètes dits "pros" et/ou de leurs clubs, une petite négligence puisse avoir des conséquences bien regrettables.
Mais on a le droit par ailleurs de s'interroger sur le bien-fondé de ces règles pour, pourquoi pas, les modifier. Et sous cet angle là il faut bien reconnaître que, pour le problème qui nous intéresse, les éventuelles critiques de la règle dépassent largement le cadre d'une date ou d'un délai de renouvellement de licence.
On est d'accord que pour détenir un record de club, il faut être membre de ce club
C'est la même chose pour la FFA.
Alors c'est vrai, l'appellation "record de France" est un raccourci trompeur, on devrait parler de "record des français licenciés FFA"
C'est peut-être cette période administrative en décalage par rapport à la saison qui est problématique. Mais cela a été voulu par le têtes pensantes malgré tous les inconvénients remontés à l'époque
Mais il y a des effets de bords encore pires. Par exemple le fait que l'on doive être licencié la veille de la compétition et non la veille de l'épreuve pour officialiser une performance
Pour rester dans l’exemple des masters, il y a un sauteur (bien connu) qui a battu un record de France le 14 septembre en étant licencié le 7 septembre mais comme la compétition en question avait débuté le 5 septembre son record n'a jamais été homologué.