Chrysalide a écrit : Eole a écrit :En attendant de voir un kenyan ou ethiopien gagner Paris-Roubaix le meme week end qu'un francais gagnera le marathon de Paris bien sûr
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Ah ! Mais ça serait tout a fait possible si les enfants des champions y mettaient un peu du leur !
Si, au lieu de s'acharner à s'entrainer pour faire moins bien que leurs parents, en se couchant comme des poules et en avalant des graines pour les oiseaux, ils voyageaient un peu plus et prenaient le temps d'aller boire des coups avec les autochtones on aurait pu voir se constituer ce genre d'équipe :
Kenenisa Lapebie
Bernard Kipchoge
Gilbert Duclos Bekele
Eliud Hinault
Tirunesh Madiot
Brigid Bobet
Louison Dibaba
Hein ? Et question palmarès potentiel, je te fais pas un dessin :))
Sinon sérieusement ça représente quoi le vélo pour les africains et en particulier les africains de l'est ? Je veux dire, y'a des compètes sérieuses ? Des clubs qui pourraient produire des champions ?
J'y connais rien en la matière mais je pense à un truc tout bête. Pour courir vite, il suffit de pas grand chose (short T-shirt, baskets) et basta et encore là on est au max mais torse nu et pieds nus ça peut le faire aussi et on a des milliers d'exemples mais vu le prix d'un vélo de course, est-ce que ça ne serait pas tout simplement la raison pour laquelle on n'en voit quasiment pas ?
Tu as bien sur , tout connement, bien raison, pour rouler faut des velos et des routes le permettant
Maintenant d une part on est plus a l'epoque de Tintin au Congo, d'autre part que ce doit les colombiens il y a 40 ans, ou nos ruraux europeens il y a 100 ans, la qualite relative des routes et materiels n'a jamais empeche le developpement de l'activité pour peu qu'elle ait su transporter (c est le cas de le dire) les foules
Article interessant hier dans l'equipe sur l'evolution du cyclisme africain en tout cas. C est pas encore une grosse grosse revolution qui est en marche, mais toutefois a observer surement d'un oeil les 20 prochaines annees ;)
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