Alors ça... je ne m'y attendais pas. Une de + et c'est triste...

Insta de Alexa Lemitre a écrit :

#MeeToo

1. Le respect du consentement
« J’ai merdé… »
NON monsieur, vous n’avez pas merdé, quand on vous dit trois fois non, vous l’avez compris mais vous continuez quand même. NON monsieur, quand on dit non, ça ne veut pas dire oui.
NON monsieur, quand une personne devant vous n’est plus maîtresse de ses actes, il n’y a pas de consentement.
Ah et NON monsieur, si vous pensiez « avoir merdé », vous n’auriez pas recommencé une deuxième fois.
La question du consentement se pose d’autant plus du fait que la relation entre un coach et son athlète est asymétrique. On est dans la zone grise, le consentement est brouillé et c’est là qu’un abus de confiance se transforme en un abus sexuel.

2. La relation asymétrique
NON monsieur, il n’est pas normal d’avoir des rapports sexuels avec son athlète, d’abuser et de trahir la confiance de la relation athlète-entraîneur pour arriver à ses fins. NON monsieur, il n’est pas normal de se servir de cette relation d’ascendance pour franchir cette limite.

3. Les préjugés moralisateurs face à la légalité
NON, le fait d’avoir bu de l’alcool ne justifie pas le fait qu’il puisse arriver de telles choses. Certes, c’est prendre un risque mais quand on est avec des personnes de confiance, on se sent en sécurité et parfois, bien qu’on ait fait attention, on perd malheureusement le contrôle et on est sensé pouvoir compter sur ces personnes de confiance. On attend d’elles qu’elles prennent soin de nous si cela vient à arriver.
Alors merci de ne pas émettre de jugement.

Je n’ai pas la prétention de dire que je suis une bonne personne mais par contre je peux dire que je fais tout pour essayer d’en être une, même si, comme tout le monde, je fais des erreurs. Malheureusement, dans certaines situations, la plus grosse erreur que l’on puisse faire, c’est de faire confiance à la mauvaise personne.

Une athlètes prometteuse jusqu'en 2021 environ, puis stagnation, régression. J'ai cru à la crise du Covid, certain(e)s ont fait des choix de vie pour passer à autre ou ont juste perdu l'envie de se mettre des caisses à l'entrainement pour peu de reconnaissance et résultats. Mais là, la raison est ailleurs... Claire Palou, Emma Oudiou, ... à qui le tour ?

schpountz a écrit :

Insta de Alexa Lemitre a écrit :

#MeeToo

1. Le respect du consentement
« J’ai merdé… »
NON monsieur, vous n’avez pas merdé, quand on vous dit trois fois non, vous l’avez compris mais vous continuez quand même. NON monsieur, quand on dit non, ça ne veut pas dire oui.
NON monsieur, quand une personne devant vous n’est plus maîtresse de ses actes, il n’y a pas de consentement.
Ah et NON monsieur, si vous pensiez « avoir merdé », vous n’auriez pas recommencé une deuxième fois.
La question du consentement se pose d’autant plus du fait que la relation entre un coach et son athlète est asymétrique. On est dans la zone grise, le consentement est brouillé et c’est là qu’un abus de confiance se transforme en un abus sexuel.

2. La relation asymétrique
NON monsieur, il n’est pas normal d’avoir des rapports sexuels avec son athlète, d’abuser et de trahir la confiance de la relation athlète-entraîneur pour arriver à ses fins. NON monsieur, il n’est pas normal de se servir de cette relation d’ascendance pour franchir cette limite.

3. Les préjugés moralisateurs face à la légalité
NON, le fait d’avoir bu de l’alcool ne justifie pas le fait qu’il puisse arriver de telles choses. Certes, c’est prendre un risque mais quand on est avec des personnes de confiance, on se sent en sécurité et parfois, bien qu’on ait fait attention, on perd malheureusement le contrôle et on est sensé pouvoir compter sur ces personnes de confiance. On attend d’elles qu’elles prennent soin de nous si cela vient à arriver.
Alors merci de ne pas émettre de jugement.

Je n’ai pas la prétention de dire que je suis une bonne personne mais par contre je peux dire que je fais tout pour essayer d’en être une, même si, comme tout le monde, je fais des erreurs. Malheureusement, dans certaines situations, la plus grosse erreur que l’on puisse faire, c’est de faire confiance à la mauvaise personne.

Une athlètes prometteuse jusqu'en 2021 environ, puis stagnation, régression. J'ai cru à la crise du Covid, certain(e)s ont fait des choix de vie pour passer à autre ou ont juste perdu l'envie de se mettre des caisses à l'entrainement pour peu de reconnaissance et résultats. Mais là, la raison est ailleurs... Claire Palou, Emma Oudiou, ... à qui le tour ?

Navrant une fois de plus
En regardant qui l'entraîne maintenant depuis 2023, je me dis que finalement ça serait pas plus mal que toutes les femmes soient entraînées par des coachs femmes.
Pour la paix de toutes et tous.

.

Eole a écrit :

schpountz a écrit :

Insta de Alexa Lemitre a écrit :

#MeeToo

1. Le respect du consentement
« J’ai merdé… »
NON monsieur, vous n’avez pas merdé, quand on vous dit trois fois non, vous l’avez compris mais vous continuez quand même. NON monsieur, quand on dit non, ça ne veut pas dire oui.
NON monsieur, quand une personne devant vous n’est plus maîtresse de ses actes, il n’y a pas de consentement.
Ah et NON monsieur, si vous pensiez « avoir merdé », vous n’auriez pas recommencé une deuxième fois.
La question du consentement se pose d’autant plus du fait que la relation entre un coach et son athlète est asymétrique. On est dans la zone grise, le consentement est brouillé et c’est là qu’un abus de confiance se transforme en un abus sexuel.

2. La relation asymétrique
NON monsieur, il n’est pas normal d’avoir des rapports sexuels avec son athlète, d’abuser et de trahir la confiance de la relation athlète-entraîneur pour arriver à ses fins. NON monsieur, il n’est pas normal de se servir de cette relation d’ascendance pour franchir cette limite.

3. Les préjugés moralisateurs face à la légalité
NON, le fait d’avoir bu de l’alcool ne justifie pas le fait qu’il puisse arriver de telles choses. Certes, c’est prendre un risque mais quand on est avec des personnes de confiance, on se sent en sécurité et parfois, bien qu’on ait fait attention, on perd malheureusement le contrôle et on est sensé pouvoir compter sur ces personnes de confiance. On attend d’elles qu’elles prennent soin de nous si cela vient à arriver.
Alors merci de ne pas émettre de jugement.

Je n’ai pas la prétention de dire que je suis une bonne personne mais par contre je peux dire que je fais tout pour essayer d’en être une, même si, comme tout le monde, je fais des erreurs. Malheureusement, dans certaines situations, la plus grosse erreur que l’on puisse faire, c’est de faire confiance à la mauvaise personne.

Une athlètes prometteuse jusqu'en 2021 environ, puis stagnation, régression. J'ai cru à la crise du Covid, certain(e)s ont fait des choix de vie pour passer à autre ou ont juste perdu l'envie de se mettre des caisses à l'entrainement pour peu de reconnaissance et résultats. Mais là, la raison est ailleurs... Claire Palou, Emma Oudiou, ... à qui le tour ?

Navrant une fois de plus
En regardant qui l'entraîne maintenant depuis 2023, je me dis que finalement ça serait pas plus mal que toutes les femmes soient entraînées par des coachs femmes.
Pour la paix de toutes et tous.

.

Mexico68 a écrit :

Eole a écrit :

schpountz a écrit :

Insta de Alexa Lemitre a écrit :

#MeeToo

1. Le respect du consentement
« J’ai merdé… »
NON monsieur, vous n’avez pas merdé, quand on vous dit trois fois non, vous l’avez compris mais vous continuez quand même. NON monsieur, quand on dit non, ça ne veut pas dire oui.
NON monsieur, quand une personne devant vous n’est plus maîtresse de ses actes, il n’y a pas de consentement.
Ah et NON monsieur, si vous pensiez « avoir merdé », vous n’auriez pas recommencé une deuxième fois.
La question du consentement se pose d’autant plus du fait que la relation entre un coach et son athlète est asymétrique. On est dans la zone grise, le consentement est brouillé et c’est là qu’un abus de confiance se transforme en un abus sexuel.

2. La relation asymétrique
NON monsieur, il n’est pas normal d’avoir des rapports sexuels avec son athlète, d’abuser et de trahir la confiance de la relation athlète-entraîneur pour arriver à ses fins. NON monsieur, il n’est pas normal de se servir de cette relation d’ascendance pour franchir cette limite.

3. Les préjugés moralisateurs face à la légalité
NON, le fait d’avoir bu de l’alcool ne justifie pas le fait qu’il puisse arriver de telles choses. Certes, c’est prendre un risque mais quand on est avec des personnes de confiance, on se sent en sécurité et parfois, bien qu’on ait fait attention, on perd malheureusement le contrôle et on est sensé pouvoir compter sur ces personnes de confiance. On attend d’elles qu’elles prennent soin de nous si cela vient à arriver.
Alors merci de ne pas émettre de jugement.

Je n’ai pas la prétention de dire que je suis une bonne personne mais par contre je peux dire que je fais tout pour essayer d’en être une, même si, comme tout le monde, je fais des erreurs. Malheureusement, dans certaines situations, la plus grosse erreur que l’on puisse faire, c’est de faire confiance à la mauvaise personne.

Une athlètes prometteuse jusqu'en 2021 environ, puis stagnation, régression. J'ai cru à la crise du Covid, certain(e)s ont fait des choix de vie pour passer à autre ou ont juste perdu l'envie de se mettre des caisses à l'entrainement pour peu de reconnaissance et résultats. Mais là, la raison est ailleurs... Claire Palou, Emma Oudiou, ... à qui le tour ?

Navrant une fois de plus
En regardant qui l'entraîne maintenant depuis 2023, je me dis que finalement ça serait pas plus mal que toutes les femmes soient entraînées par des coachs femmes.
Pour la paix de toutes et tous.

.

Bon je n'ai pas accès à cette déclaration. De quand date-t-elle? Décidément comment ne pas comprendre les réactions que certains trouvent exagérées des féministes quand on lit un tel témoignage.
Par ailleurs je mets en lien un article de La Dépêche annonçant son arrêt de l'athlétisme à haut niveau.
Lien

Si je me fie a ce que j'ai compris, sa déclaration date d'aujourd'hui ou hier
Mais pour des faits plus anciens bien sûr

Et malheureusement ce n'est pas une exception, j'ai même l'impression que ça se multiplie.

.

Elle avait fait un post insta le 3 juillet pour dire son arrêt de l'athlé. Et celui là date d'hier à 21h. Je regardais vite fait les storys sur FB et j'en ai vu une de Jeff Lastennet sur cette athlète, du coup je suis allé me renseigner et paf ça fait des Chocapic.

Eole, je peux comprendre ton point de vue, mais je pense que si on dit à toutes les femmes de se faire entrainer par des femmes, ça sous-entendrait que tous les hommes sont coupables et je ne pense vraiment pas que ce soit le cas...

Eole a écrit :

Mexico68 a écrit :

Eole a écrit :

Navrant une fois de plus
En regardant qui l'entraîne maintenant depuis 2023, je me dis que finalement ça serait pas plus mal que toutes les femmes soient entraînées par des coachs femmes.
Pour la paix de toutes et tous.

.

Bon je n'ai pas accès à cette déclaration. De quand date-t-elle? Décidément comment ne pas comprendre les réactions que certains trouvent exagérées des féministes quand on lit un tel témoignage. Par ailleurs je mets en lien un article de La Dépêche annonçant son arrêt de l'athlétisme à haut niveau. Lien

Si je me fie a ce que j'ai compris, sa déclaration date d'aujourd'hui ou hier
Mais pour des faits plus anciens bien sûr

Et malheureusement ce n'est pas une exception, j'ai même l'impression que ça se multiplie..

De plus en plus de faits, je ne crois pas. De plus en plus de dénonciations de ces faits, oui c’est évident et c’est bien sûr une très bonne chose. Aussi de plus en plus de prise en compte de ces dénonciations par l’entourage, les clubs, la police et la justice, même si là c’est beaucoup plus lent et que ça se heurte non seulement à des obstacles légaux compréhensibles et quelque part normaux dans un état de droit, mais aussi à des mentalités qui mettent malheureusement toujours du temps à vraiment évoluer en profondeur.

Cela dit ce texte d’Alexa Lemitre tel qu’il est rédigé me laisse des interrogations. D’abord la conclusion de schpountz me paraît en l’état plutôt une forte supposition. Elle ne dit nulle part que la régression de ses perfs depuis 3 ans et l’arrêt de sa carrière sont les conséquences directes de cette agression, même si c’est évidemment très possible et que ce ne serait pas la première fois que pareilles choses liées arrivent.

Ensuite le texte en lui-même est quelque part un peu ambigüe. Je ne sais pas du tout si elle a porté plainte contre cette personne, mais vu comment le texte est rédigé je ne le pense pas. La mention #metoo au départ et la dernière phrase à la 1ère personne indiquent sans aucun doute qu’elle évoque bien une agression personnelle. Pourtant ce texte n’est pas la relation précise et directe de cette agression et pourrait tout aussi bien être des considérations générales sur ce genre de situation, auxquelles par ailleurs je souscris complètement. De plus elle n’accuse nommément personne, hors le terme « entraîneur », et elle ne date du tout pas les faits. Mais des entraîneurs elle n’a pas dû en avoir 50 dans sa carrière. Si elle n’en a eu qu’un seul alors on saura tout de suite de qui il s’agit et il va certainement réagir, peut-être judiciairement… S’il y en a eu plusieurs, alors, hors certaines personnes qui savent sans doute déjà de qui elle veut parler, les soupçons vont aussi immanquablement se porter sur des gens complètement innocents.

A suivre donc, mais évidemment sur le fond nouvelle lamentable affaire. Soutien et bon courage à elle !

schpountz a écrit :

Elle avait fait un post insta le 3 juillet pour dire son arrêt de l'athlé. Et celui là date d'hier à 21h. Je regardais vite fait les storys sur FB et j'en ai vu une de Jeff Lastennet sur cette athlète, du coup je suis allé me renseigner et paf ça fait des Chocapic.

Eole, je peux comprendre ton point de vue, mais je pense que si on dit à toutes les femmes de se faire entrainer par des femmes, ça sous-entendrait que tous les hommes sont coupables et je ne pense vraiment pas que ce soit le cas...

D'accord avec toi ! Sans compter que dans l'absolu il n'est pas impossible qu'il puisse y avoir aussi des agressions d'entraîneurs femmes sur des athlètes femmes, même si évidemment ça doit être rarissime...

Sur le même sujet J.Gressier sur sa page FB fait son bilan de l'année et insiste sur le fait que les accusations de harcèlement sexuel à son encontre ont été classées sans suite et par trois fois il écrit SANS SUITE dans son texte.
Ceci dit 86% des affaires de harcèlement sexuel sont classées sans suite pour infraction insuffisamment caractérisée.

philathle a écrit :

schpountz a écrit :

Elle avait fait un post insta le 3 juillet pour dire son arrêt de l'athlé. Et celui là date d'hier à 21h. Je regardais vite fait les storys sur FB et j'en ai vu une de Jeff Lastennet sur cette athlète, du coup je suis allé me renseigner et paf ça fait des Chocapic.

Eole, je peux comprendre ton point de vue, mais je pense que si on dit à toutes les femmes de se faire entrainer par des femmes, ça sous-entendrait que tous les hommes sont coupables et je ne pense vraiment pas que ce soit le cas...

D'accord avec toi ! Sans compter que dans l'absolu il n'est pas impossible qu'il puisse y avoir aussi des agressions d'entraîneurs femmes sur des athlètes femmes, même si évidemment ça doit être rarissime...

Oui, on peut en ergoter des heures et des heures
Le fait est qu'ici c'est une relation entrainéE,/entraîneur qui est pointée du doigt
Un homme une femme si tu préfères, dans un contexte maître/eleve de grande proximité .
Pas un truc rare dans notre athle , plutôt la "norme" même comme contexte de base
Pas non plus comme si #metoo l'avait pas pointé du doigt non plus
Mais sûrement je me goure

Eole a écrit :

philathle a écrit :

schpountz a écrit :

Elle avait fait un post insta le 3 juillet pour dire son arrêt de l'athlé. Et celui là date d'hier à 21h. Je regardais vite fait les storys sur FB et j'en ai vu une de Jeff Lastennet sur cette athlète, du coup je suis allé me renseigner et paf ça fait des Chocapic.

Eole, je peux comprendre ton point de vue, mais je pense que si on dit à toutes les femmes de se faire entrainer par des femmes, ça sous-entendrait que tous les hommes sont coupables et je ne pense vraiment pas que ce soit le cas...

D'accord avec toi ! Sans compter que dans l'absolu il n'est pas impossible qu'il puisse y avoir aussi des agressions d'entraîneurs femmes sur des athlètes femmes, même si évidemment ça doit être rarissime...

Oui, on peut en ergoter des heures et des heures
Le fait est qu'ici c'est une relation entrainéE,/entraîneur qui est pointée du doigt
Un homme une femme si tu préfères, dans un contexte maître/eleve de grande proximité .
Pas un truc rare dans notre athle , plutôt la "norme" même comme contexte de base
Pas non plus comme si #metoo l'avait pas pointé du doigt non plus
Mais sûrement je me goure

Oh non tu ne te goures pas, au moins dans le constat ! Au-delà des situations extrêmes d'agressions sexuelles, mais qui on le sait ne sont pas si rares, il y a de toute façon un côté affectif et/ou "domination" qui se développe forcément dans ce genre de relation maître/élève de grande proximité (et pas que dans le sport), même que parfois ça se termine par un mariage (pas rare non plus), et même si cela n'a bien sûr aucun rapport avec une agression qui relève évidemment exclusivement de la domination mentale et physique hommes sur femmes, malheureusement "historique", et non pas de l'affection, et encore moins de l'amour.

Après la solution est-elle une sorte "d'apartheid" hommes et femmes dans les situations maîtres/élèves ? Je ne le crois pas... On remplacerait à terme le problème par un autre. Parce que concrètement la situation des femmes est-elle plus enviable dans les pays où un "apartheid" légal et de fait existe plus ou moins entre les 2 sexes ? Alors évidemment que la solution est dans un premier temps la dénonciation systématique, la prise en compte de ces agressions et la sanction des coupables (mais le problème est que pour des tas de raisons ce n'est pas si facile), et surtout, pour vraiment résoudre le problème, dans l'évolution des mentalités (essentiellement masculines en l'occurence) et ça ce sera très long, beaucoup trop bien sûr ! En plus on voit bien aussi que cette évolution est tout sauf évidente pour certains, et qu'il y a beaucoup de résistances de tous ordres, même au niveau des idées de partis politiques. On n'est pas sortis de l'auberge hein...

philathle a écrit :

Eole a écrit :

philathle a écrit :

schpountz a écrit :

Elle avait fait un post insta le 3 juillet pour dire son arrêt de l'athlé. Et celui là date d'hier à 21h. Je regardais vite fait les storys sur FB et j'en ai vu une de Jeff Lastennet sur cette athlète, du coup je suis allé me renseigner et paf ça fait des Chocapic.

Eole, je peux comprendre ton point de vue, mais je pense que si on dit à toutes les femmes de se faire entrainer par des femmes, ça sous-entendrait que tous les hommes sont coupables et je ne pense vraiment pas que ce soit le cas...

D'accord avec toi ! Sans compter que dans l'absolu il n'est pas impossible qu'il puisse y avoir aussi des agressions d'entraîneurs femmes sur des athlètes femmes, même si évidemment ça doit être rarissime...

Oui, on peut en ergoter des heures et des heures
Le fait est qu'ici c'est une relation entrainéE,/entraîneur qui est pointée du doigt
Un homme une femme si tu préfères, dans un contexte maître/eleve de grande proximité .
Pas un truc rare dans notre athle , plutôt la "norme" même comme contexte de base
Pas non plus comme si #metoo l'avait pas pointé du doigt non plus
Mais sûrement je me goure

Oh non tu ne te goures pas, au moins dans le constat ! Au-delà des situations extrêmes d'agressions sexuelles, mais qui on le sait ne sont pas si rares, il y a de toute façon un côté affectif et/ou "domination" qui se développe forcément dans ce genre de relation maître/élève de grande proximité (et pas que dans le sport), même que parfois ça se termine par un mariage (pas rare non plus), et même si cela n'a bien sûr aucun rapport avec une agression qui relève évidemment exclusivement de la domination mentale et physique hommes sur femmes, malheureusement "historique", et non pas de l'affection, et encore moins de l'amour.

Après la solution est-elle une sorte "d'apartheid" hommes et femmes dans les situations maîtres/élèves ? Je ne le crois pas... On remplacerait à terme le problème par un autre. Parce que concrètement la situation des femmes est-elle plus enviable dans les pays où un "apartheid" légal et de fait existe plus ou moins entre les 2 sexes ? Alors évidemment que la solution est dans un premier temps la dénonciation systématique, la prise en compte de ces agressions et la sanction des coupables (mais le problème est que pour des tas de raisons ce n'est pas si facile), et surtout, pour vraiment résoudre le problème, dans l'évolution des mentalités (essentiellement masculines en l'occurence) et ça ce sera très long, beaucoup trop bien sûr ! En plus on voit bien aussi que cette évolution est tout sauf évidente pour certains, et qu'il y a beaucoup de résistances de tous ordres, même au niveau des idées de partis politiques. On n'est pas sortis de l'auberge hein...

Pas mieux, je crois juste que plus de présence féminine dans l'encadrement peut apporter quelque-chose , pas une solution a tous les cas, mais d'autres modèles de relations, même si tous les coachs hommes ne se perdent pas non plus la dedans, et concernant cet "apartheid" il faut relativiser ça a l'échelle de notre athle qui bat souvent sa coulpe mais qui est un sport qui offre déjà une grande mixité éducative en situation terrain, pas la même que quand une poussine se retrouve dans un groupe garçon de U10 de rugby par exemple .
Après ce qui m'échappe et me fait quand même douter de certains bonhommes, c'est de voir des affaires récentes (médiatisées ou pas encore) avoir lieu, alors que ça n'est médiatiquement plus un sujet ignoré (et ça qu'on évoque une augmentation des faits ou seulement des signalements )

Bref, pas gagné en effet

Comité du Tarn

ivalo a écrit :

Comité du Tarn

Bonjour la présomption d’innocence….

jmbil a écrit :

ivalo a écrit :

Comité du Tarn

Bonjour la présomption d’innocence….

bruno a écrit :

jmbil a écrit :

ivalo a écrit :

Comité du Tarn

Bonjour la présomption d’innocence….

Ou j ai lu trop vite, ou il n y a qu un soutien à alexia
Je ne vois personne d autre cité

Oui tout à fait, je suis très attaché à la présomption d'innocence même si je suis bien conscient qu'elle est devenue impossible depuis l'apparition des réseaux sociaux. Mais là, ce communiqué, finalement assez laconique, ne cite personne, ne donne pas de dates et se contente d'un soutien appuyé à Alexa, chose plutôt logique a priori en pareilles circonstances.

Mais apparemment le comité n'annonce même pas l'ouverture d'une enquête à son niveau et semble dire que cela va se passer deux ou trois étages au-dessus à la fédé et au ministère de tutelle, qui auraient donc été saisis (par qui d'ailleurs, l'athlète ou ce comité ?) ou se seraient saisis d'office de l'affaire... Pas très clair tout ça et beaucoup de conditionnel...

philathle a écrit :

bruno a écrit :

jmbil a écrit :

ivalo a écrit :

Comité du Tarn

Bonjour la présomption d’innocence….

Ou j ai lu trop vite, ou il n y a qu un soutien à alexia
Je ne vois personne d autre cité

Oui tout à fait, je suis très attaché à la présomption d'innocence même si je suis bien conscient qu'elle est devenue impossible depuis l'apparition des réseaux sociaux. Mais là, ce communiqué, finalement assez laconique, ne cite personne, ne donne pas de dates et se contente d'un soutien appuyé à Alexa, chose plutôt logique a priori en pareilles circonstances.

Mais apparemment le comité n'annonce même pas l'ouverture d'une enquête à son niveau et semble dire que cela va se passer deux ou trois étages au-dessus à la fédé et au ministère de tutelle, qui auraient donc été saisis (par qui d'ailleurs, l'athlète ou ce comité ?) ou se seraient saisis d'office de l'affaire... Pas très clair tout ça et beaucoup de conditionnel...

Assez clair pour moi , pour ce qui est du comité qui dit juste que malgré sa forte considération du problème, il ne sera pas l'enquêteur et juge du sujet
Ça vient sûrement aussi en relais de la reprise un peu plus tôt de l'info Instagram d'Alexa , par la presse locale (mercredi dans la dépêche en l'occurence)
Et comme les "gens" ont tôt vite fait de s'étonner du silence des institutions sans trop savoir pour autant quelles sont leur domaine et contour d'intervention possible.

Après c est clair aussi qu'à contrario les infos ainsi reprises en quasi copier-coller et donc dans designer le "coupable", tendent a entériner tacitement une "verité".

Ainsi en est il de l'influence des réseaux sociaux désormais

bruno a écrit :

jmbil a écrit :

ivalo a écrit :

Comité du Tarn

Bonjour la présomption d’innocence….

Ou j ai lu trop vite, ou il n y a qu un soutien à alexa
Je ne vois personne d autre cité

dénonce des agressions sexuelles dont elle a été victime.

Ah bon ? L’enquête est terminée et le jugement est rendu ?

Le comité du Tarn semble bien au courant des dessous de cette affaire apparemment mais ne veux pas faire de commentaires et laisse travailler les services juridiques

jmbil a écrit :

bruno a écrit :

jmbil a écrit :

ivalo a écrit :

Comité du Tarn

Bonjour la présomption d’innocence….

Ou j ai lu trop vite, ou il n y a qu un soutien à alexa
Je ne vois personne d autre cité

dénonce des agressions sexuelles dont elle a été victime.

Ah bon ? L’enquête est terminée et le jugement est rendu ?

Le comité du Tarn semble bien au courant des dessous de cette affaire apparemment mais ne veux pas faire de commentaires et laisse travailler les services juridiques

bruno a écrit :

Il n y a aucun nom....ni indication

Laisse, je pense qu'il fait le ouin-ouin parce que la phrase est "dont elle a été victime" et pas "dont elle aurait été victime".

Je ne la connais pas, mais j'ai vu sa disparation soudain du haut niveau, sa perte de progression... Et franchement, qu'aurait-elle à gagner à faire un tel post si tout ce qu'elle dit est faux ?? Je pense surtout qu'elle a eu honte, qu'elle a gardé ça tout ce temps en elle et qu'en voyant d'autres demoiselles dans la même situation qu'elle, s'exprimer, être écouté devant une commission, attaquer des institutions, ... elle a du enfin digérer la chose, comprendre que ce n'est pas sa faute à elle et le temps que la plainte soit déposée, elle a réfléchi à ce message. Du coup à aucun moment le message sur Instagram ne peut être diffamatoire puisqu'il a du être vu et revu par des avocats.

schpountz a écrit :

bruno a écrit :

Il n y a aucun nom....ni indication

Laisse, je pense qu'il fait le ouin-ouin parce que la phrase est "dont elle a été victime" et pas "dont elle aurait été victime".

Je ne la connais pas, mais j'ai vu sa disparation soudain du haut niveau, sa perte de progression... Et franchement, qu'aurait-elle à gagner à faire un tel post si tout ce qu'elle dit est faux ?? Je pense surtout qu'elle a eu honte, qu'elle a gardé ça tout ce temps en elle et qu'en voyant d'autres demoiselles dans la même situation qu'elle, s'exprimer, être écouté devant une commission, attaquer des institutions, ... elle a du enfin digérer la chose, comprendre que ce n'est pas sa faute à elle et le temps que la plainte soit déposée, elle a réfléchi à ce message. Du coup à aucun moment le message sur Instagram ne peut être diffamatoire puisqu'il a du être vu et revu par des avocats.